Pour 2025, un nouveau morceau "Blandices du cœur" pour adoucir les cœurs qui ont tendance à se révulser ces derniers temps....avec la collaboration de Ladislav Szathmary au violoncelle.
J'ai rajouté sur youtube un morceau ancien que j'avais omis de mettre, "Chinita de mi corazon" et je suis allé chercher au fond du carton aux photos de quoi l'illustrer.
Ce qui me fait dire que le temps passe ....vite.
Et toujours merci à Philippe Labroue à l'enregistre des sons. 21\12\2024.
Le nouveau CD de Pascal Coulon, mûri tout l’hiver, arrive avec le printemps, traversé par le vent du large, pour charmer nos oreilles une fois encore avec sa harpe obstinément diatonique et ici quelque peu éolienne. On reconnaît immédiatement l’univers musical si personnel de Pascal, qui poursuit son &oeuvre et continue, contre (ou avec ?) vents et marées, d’explorer les territoires qu’il a patiemment défrichés.
"Quatre pensées", sous des dehors de mélodie bien sage, s’aventure parfois dans les territoires de l’atonalité en modifiant, comme par mégarde, la note que l’on attendait... Pascal a la passion de ces ritournelles qui reviennent et se répètent inlassablement, avec toujours des décalages et des échappées mélodiques nouvelles.
"Fuguerrante" reprend des thèmes qui lui sont chers et qu’il s’amuse à décliner de multiples façons, au fil de ses disques,avec à chaque fois des variations et des colorations différentes.
"Baladain" nous entraîne dans une danse pleine de gaieté et de sentiment, soulignée par le bourdonnement faussement sérieux du violoncelle.
"Komodo" est une joyeuse et foisonnante évocation de l’univers du jeu et de l’insouciance liés à l’enfance.
"Soleil doré" pourrait être une jolie musique de film, d’une belle histoire sentimentale qui finit bien...
Comme à l’accoutumée, Pascal nous fait aussi découvrir un de ses enregistrements plus anciens, de style délibérément « llanero », dont il semble avoir un stock inépuisable. Avec "El Verdun" nous retournons en Colombie ou au Venezuela.On retrouve toujours avec plaisir le charme et la belle énergie de cette musique, sa pulsation puissante qui invite à la danse, le parfait accord et le vrai bonheur des musiciens qui l’interprètent.
L’enregistrement de ce disque, toujours au studio Labroue, met en relief la sonorité presque métallique dans les aiguës, de sa harpe. Ce son surprend, évoquant parfois guitare, koto ou shamisen.
Il y a souvent, chez Pascal Coulon, sous la parure sud-américaine, une Asie cachée...
... "qu'Odessa soit une belle ville , digne d'être dûment célébrée en musique, et à la harpe, si Pascal Coulon nous le dit et nous le fait entendre, ça je le crois volontiers !
Sa harpe llanera se met ici à chanter pour un autre univers que celui de la Colombie et du Vénézuela, mais tout en conservant ce phrasé et ce tempo caractéristiques. On retrouve aussi, en filigrane, une de ces ritournelles à la fois légère, pleine de charme et de nostalgie qui sont sa manière, mais ici heurtée, parcourue de décalages rythmiques, illuminée par les sombres éclairs du violoncelle de Ladislav Szathmary.
Ce morceau évoque ainsi, avec un mélange de gaieté et de gravité, d’espoir et d’inquiétude, cette belle ville menacée, ce pays de vieille culture livré par la faute de "géostratèges" malfaisants à une guerre fratricide. Est-ce là l'embryon d'un nouveau CD ? On aimerait bien..."
Je vous disais bien, dans le Harpesmag 34 , qu’il ne fallait pas croire Pascal Coulon quand il annonçait que Ballade cristalline serait son dernier disque !
Voici donc de nouveau quelques Bruits sages, toujours enregistrés au studio Labroue, bientôt délocalisé en Dordogne, mais hélas sans le contrebassiste Claude Mouton, à qui est dédié le morceau qui fait le titre de l’album.
Toujours la même harpe diatonique et la même formule, quelques nouveautés mêlées à quelques reprises. Pascal aime revisiter ses anciens morceaux, revenir à ses anciennes amours colombiennes et vénézuéliennes ; il nous entraîne de nouveau dans la danse avec ces airs pleins de sentiment et d’énergie.
On ne se lasse pas d’écouter ces morceaux, surtout ses variations sur le concierto en la llanura, toutes en finesse et toujours dans le droit fil de la mélodie. Sa harpe, superbement enregistrée, délivre toute sa puissance dans des basses qui installent un rythme impeccable.
Retournelle est un menuet presque baroque, joué avec, par moments, des accents de llanero. Il porte bien son nom, se développe, retourne au début inlassablement, recommence, avec chaque fois de subtiles variations, bien dans la manière actuelle du harpiste.
Dentelle printannière de même nous entraîne dans une danse sentimentale, tour à tour enjouée ou rêveuse, qui revient et retourne sur elle même en explorant à chaque tour une échappée sur un nouveau paysage sonore.
Bruits sages enfin nous rappelle que Pascal a aussi beaucoup joué du koto ou du shamisen, ce qui va bien avec ce morceau plus méditatif, riche en citations de ses propres mélodies, comme s’il avait voulu évoquer les souvenirs de toutes ces années passées, de tous ces enregistrements réalisés avec la complicité de Claude Mouton...
Le Cd Kurosuke de 2020 a clos les 25 années pendant lesquelles je façonnais des mélodies en jouant dans le métro avec une interaction entre le public et mes compositions musicales.
En 2021 je reviens avec le single Ballade cristalline dans des circonstances différentes.
J'ai dû interrompre mon activité dans le métro depuis un an et je joue désormais avec mon chat Kurosuke comme public exclusif.
Ce petit CD, est un peu mon chant du cygne en quelque sorte, au moins du cd physique.
Harpmag N°34 - Juin 2021
On continue à s'entasser dans le métro comme sardines en boîtes, affublés de masques hideux, mais plus de musiciens dans les couloirs pour rendre ces endroits supportables...
Pascal Coulon n'y joue plus, après bien des années passées à essayer de retarder et d'enchanter des parisiens pressés et robotisés, à la station Denfert la bien nommée.
Voilà du temps libre donc, et l'occasion de produire encore un disque, le dernier dit-il (mais on n'est pas obligés de le croire). Fidèle à sa formule habituelle, il nous offre quelques compositions inédites, des reprises « revisitées » de morceaux plus anciens et même quelques titres tirés de ses archives.
C'est un harpiste qui a plusieurs cordes à son arc...et plusieurs personnalités.
Il y a chez lui un joueur de koto qui s'exprime à la harpe, toujours sa llanera sud-américaine farouchement diatonique et qui sonne si bien .
Il y a le parisiano llanero si à l'aise dans ces entraînantes et énergiques danses colombiennes, surtout quand il joue avec des musiciens de là-bas, comme dans cette délicieuse Columbianita .
Il y a un improvisateur et compositeur atypique, explorateur infatigable de rengaines, décortiqueur de mélodies, mais sans rien de cassant ni de formel, toujours dans le charme d'un Jardin Baroque .
Il y a enfin, plus secret, inattendu, un créateur de petites musiques qu'on dirait pour enfants et qui évoquent pour moi les parcs d'attractions et les chevaux de bois des manèges...
Il a l'art de réunir autour de lui des musiciens efficaces et discrets, des invités et des fidèles, comme Claude Mouton à la contrebasse, Aurélien Guignard au violon, qui contribuent à créer cette atmosphère presque classique dans certains morceaux.
Il est bien servi aussi, depuis des années, par le Studio Labroue de Saint Germain des Prés, qui se met au vert... et va se délocaliser en Dordogne.
Les musiciens reviendront bien un jour dans le métro, « Bientôt, bientôt... » comme le chante l'infatigable Pierre Perret…
Après avoir terminé un nouveau CD, et ce n'est pas la première fois, j'éprouve toujours le sentiment d'avoir fait le tour du sujet, surtout que ma harpe diatonique est privée des nombreuses possibilités que peut offrir le chromatisme.
Face à un vague sentiment de vide, je me replonge alors vers mes compositions passées, " tous ces fameux morceaux qui ne m'ont pas rendu célébre", et malgré tout, je retrouve dans certains d'entre eux de belles sensations et la conviction de n'avoir pas perdu mon temps.
Cela jusqu'au jour où viennent s'inviter dans mes cordes, les prémices de nouvelles mélodies, ce qui relance le processus et me pousse à retourner bientôt au studio de Philippe Labroue qui m'accueille pour de nouvelles aventures sonores; merci à lui pour cette fidélité.
Cet album suit mon activité de composition matinale dans les couloirs du métro parisien.....entre autre, Sur le fil à Daumesnil.
Ayant retrouvé une viellie photo de la grand-mère qui m'a élévé, j'ai suivi le fil conducteur de cette précieuse retrouvaille pour dédier mes nouvelles compositions à cette chère Mamie depuis longtemps disparue.
Ode à Mamie, Harpe en comptine, Harpe en fête, c'est au cours d'une ballade nostalgique que je laisse aller mon inspiration entre un Vertige passager.
J'ai revisité cette belle mélodie argentine La peregrinación, de l'argentin Ariel Ramirez, qui donne d'une manière si limpide l'émotion religieuse que j'ai senti enfant quand je montais avec Mamie la "grimpette" du petit chemin qui longeait le vieux chateau de Marle-sur-Serre pour aller à la messe du matin.
Que ma Harpe en gambadressur les chemins et sur les ondes en Ronds d'eau porte l'Ode à Mamie là-bas très loin d'où elle pourra l'entendre.
A Villejuif août 2018, Pascal Coulon.
Merci à Bernard Wystraete et Claude Mouton, que je connaissais, et à Ladislav Scathmary dont je découvre le talent avec ravissement.
Melodiatoniques - 2017 solos Compositions for diatonic harp.
2017 album brings together solos harp I wrote later to those of the "air amadoué album" (vol.1). " The first five pieces are unpublished and composed in 2016.
-"Lointaine mélopée" makes me review some of the far East, "
-I can rehash "melodiatoniques" minutes, or many days or even weeks with the impression that all is not said. "
-"Harpe, waltz and nostalgie" watch my taste for the waltz, treated a diagram of Venezuelan Waltz which is itself based on the input of musicians from Europe... "
-"Fruit of my passion": it's her revisits ballad in 3/4 of a melody that I wrote in tropical style - (mi Corazón Chinita) "
-"Allons to Bel-air": next to me on the sign that indicates the stations up to Nation, Bel-air invites me to travel. "
-Then come the melodies according to "Air amadoué", and when I listen to everything I say to myself that I have maybe lost quite my time to play so long in my corner by cold of duck in this purgatory longer than expected to Denfert. "
With "Harpe in Signe", I put solos recent next to older compositions including participations of musicians coming from various horizons. "
The cover design comes from a photo taken at the foot of my harp where drops of water from a leak in the roof of the subway had formed a surprising motive, evoquantun eye who was studying me with different intensities, following the fluctuations caused by the fall of water; chance that this scrutiny is established at the foot of the instrument, so me can not ignore it.
There evocation of a sign mysterious came challenge me? On rainy days the lapping of water drops falling in front of me I was inspired "clapotis of emotion", and influence aquatic yet, "des heads to the lac"and cygne "chant". " Cristal "Cordes" esprimant my desire of musical syncretism. "
For those who will have this CD, I put two other pieces that matter to me: "Air amadoué" that marks the moment where I wanted to free myself patterns inherent in traditional music in order to get my own musical style, and "Ariette in tete" in search of sweetness and nostalgia piece that many parents have told me use to put their children to sleep.
The following is a selection of songs from the Cd "Harpe in sol" the draw now exhausted including "station Denfert" which reminds me of the number of years spent in these places.
Thanks to Philippe Labroue, my mentor.
At Villejuif early 2016 - Pascal Coulon
Of "Harpes Mag" N ° 13, March 2016 - Didier Saimpaul: "
In his latest CD, Pascal Coulon, the Bard of the metro, continues to explore with stubbornness a harp universe well to him, that's like nothing else.
These melodies often simple initially, these obsessive, repetitive jingles, he dissects them, rebuilt them, firewalls of multiple rhythmic ornaments, step by step, stubbornly, like he wanted to squeeze all of the juice, extract what they contain emotion.
Made of techniques and South American accents, but also, often, far-Eastern influences, his game is of great purity, a perfect master, and as his harp sings well, in its subtle diatonisme!
Parisians, finally, you have the chance with your metro!
I would just put a comment about my musical approach.
It is the Venezuelan harp (llanera) who made me discover the harp like instrument in the broad sense, and I spent years trying to play correctly, making many trips in Colombia and the Venezuela, and even France, the Venezuelan Embassy cultural service called me regularly for the receptions or openings for interpteter directory traditional colombo-Venezuelan llanero and I played for a long time also in the cabaret of the Machucambos... but my encounter with Yves Darcizas and reading a book Venezuelan 'el arpa in Venezuela' opened a new approach to the instrument.
One day, passing through Paris, Yves Darciszas came to see me and lend me for a week a harp he produced in Colombia from a copy of an old Spanish harp which is be the origin of the current harp llanera. This music of the llanos, I liked it very much and she brought me a lot, but as in almost all traditional music you meet as "ayatollahs" of sorts.
With the web and globalization is moving but from what I knew, for one who is born in a corner of the region of the llanos, the harp can only be llanera and he have to play in this way and not otherwise, and if one is not a native of this place that is not necessarily well accepted and I can understand that because without this conservative position tradition would be lost faster that's for sure.
But to know that this harp llanera it is originally the European baroque harp, it allows me to understand the instrument from this perspective and seek to m ' Express as french with my French sensibility.
I'm not breton or classical harpist and I come from a region (Laon) which has no significant tradition of harp.
At the beginning I was composing in the llanero style because my friends reminded me that it couldn't be otherwise but little by little things made their way and without denying that South American folklore brought me, I can say that through my recent compositions, in this case the first three solo pieces from the new CD and the CD ("Harpaije" ") I feel good in my music.
For example, in the "froides rives song" while I play hours in the subway, close your eyes, I find myself child in my village of Aisne, when I was walking up the River (the greenhouse) in my boat in the middle of the Woods! " In addition "froides rives" is the name of a locality. "
Finally, after much traveling the world, at my age, it's wonderful to be able to travel to the depths of my memories with this magical instrument that is "la harpe"...diatonique.
This CD starts with three solo harp composed in the first half of 2014.
Harpaije & Harpareva have brightened sometimes difficult mornings for some travelers. Harp in scenes includes several little melodies that I was playing more as they were written.
Thanks to Philippe Labroue to have found time to continue the recording of my new melodies. I think whenever I did turn my harp, is diatonic, but new veins suddenly arise over my dives in the Lair of the lion... Denfert among others.
I turned to the period where, I thought, the harp could be broken down to fashion llanera, thinking back to these beautiful moments spent in the discovery of this music in a frenzy of travel. I took three themes of this time: on the one hand, two songs that I had written in the style traditional llanero, melodies that summarize well, me it seems, the enthusiasm caused by my first visits to the Indio Ignacio Figueredo in his town of San Fernando de Apure in Venezuela, on the other hand, varitions for harp and violin, I had written on two traditional tunes Venezuelan of the llanos colombo (Buenos aires plainsmen & mid Camaguan).
The end of the draw of the "Nations of etoiles CD" approaching, it's the opportunity to make a choice of pieces so that this album thus does not disappear for body and soul. "
The travel period is over, it's time for me to discover better through the harp who I really am, and for this, I let her talk as long as she agrees to continue to do so.
This tenth CD contains my latest compositions and he also discusses my first recordings made in Venezuela, when I had just discovered the harp in his form called "llanera" or even Venezuelan or Colombian.
It is in fact the baroque harp Spanish, introduced in South America to be used initially in the churches don't move in the field particularly popular in the region from the Plains (los llanos).
Music llanera is rich of a mixture where themselves elements of Spanish baroque, rhythmic riches African and Aboriginal.
There I have to run to a good 40 years to get these travel memories with also the getaway of 8 years in the Japan and one year in Taiwan among other...
For a decade I don't move, I would land me and bury me in often hellish places - Denfert - where my heart indeed bleeds; but rich of these influences past, I try to contribute to the return of this instrument at the heart of the old continent where the classical harp with its chromaticism, had eclipsed it.
Thank BERNARD WYSTREATE who has beautifully realised my counter-voices in the bass flute, TONY BONFILS who asked his bass with the warmth of his talent, ALFREDO CUTUFLA, who put the battery delicately, as well as his son LUDWIG for the vibraphone and CUCHI ALMEDA for accuracy and beauty of its interventions.
I am enclosing a few pieces of "The harp WANDERER" so that they disappear completely, the draw of this CD being exhausted.
CD duration: 1 hour 9 minutes
Original melodies of Pascal Coulon (1 to 13)
Rayonnances
Lightning at the Odeon
Ariette in mind
Golden Sun (solo)
Harp in carillon
Fugue and dance
Forgotten gardens
Waltz asleep
Rayonnances (solo)
The baroque garden
Caricias del viento
MI Laima
A garden set para hijos
Variations on traditional music of Venezuela:
Amigos y parranderos
Saludando a los Maestros
DAMA antanona - Waltz
Con cierto concierto...
"I went to sit near the mills,
And I turned my harp into the wind.
He returned to the Fund by long complaints,
Making last sounds in a surreal way.
I played on this background of incredible lightness
In mixing the best dry sounds
Only my claws can only.
The timing was so good that it remains engraved in me
Like a living picture where I can draw
"The reserves of enthusiasm and exaltation. "
Written at the island of Mikonos, Greece, 1975...
CD duration: 56 minutes
Solo harp compositions: Pascal Coulon
Air writing
Forgotten gardens
Ariette in mind
Soliloquio
Winter stories
Calm morning
Night of promises
Waltz in the basement
Waters lives
Freshwater
Flowing waters
The lyre bird
Balladamoi
Tourbillonannces
Swing
Reveillance
Good day Waltz
Here we reached the eighth of my CD that doesn't contain it is true that five songs including "Arpaligato" in the middle of which I mention the Decade passed to the Japan.
In '2 pasajes for landscape' I wrote three variations for harp, violin and double bass on two melodies of Pasaia plainsmen (musical style that I went to listen to and study in the colombo-Venezuelan Plains). It's 'Buenos Aires plainsmen' and 'Mi Camaguan '.
'Nostalgic strings' is one of my compositions in the style of the pasaje.
"Symphony for a ticking" is dragging on and it is wanted.
In the title "Waltz in Java" that fraternize.
I mean also felt pleasure when the musical guests came with their talents enrich the melodies born at dawn on my harp in the dens of the subway.
La Danza Zuliana est un style musical que j'affectionne tout particulièrement et j'ai déjà composé par le passé Danza Parisina, Danza de luz, Mi Laîma… J'ai donc choisi ce morceau comme titre de l'album.
Une fois passée la période d'enregistrement de mélodies composées tôt le matin dans les couloirs pas encore envahis du métro, j'ai entrepris d'écrire les contre-chants en vue des participation sur Danza harpe et Kodomos, Cœur allègre, Réveillance , Balancelle et la première partie de Rumor de fiesta.
Bernard Wystraete (flûte)
Eduardo Lubo (violoncelle)
Jean-Paul Bazin ( mandoloncelle)
Guy Leroux ( guitare)
Ricardo Sandoval (mandoline)
Il y a aussi la complicité fidèle de Cesar Andrade qui a écrit des paroles sur Barca de flores et Dias Maravillosos que nous avons choisi de confier à Hayley Soto pour les interpréter.
Mais ce fut aussi le plaisir de laisser libre cours au talent de Kent Biswell dans kilin-kilin, Doux spleen et Valse de bonne journée de Bernard wystraete dans deuxième partie de Rumor de fiesta de Julio Font dans la deuxième partie de Kilin-Kilin et de Echappée d'ailes et Sébastien Jimenez dans Valse de bonne journée et Balladamoi .
J'ai mis en Mosaico quelques solos de harpe pour garder l'atmosphère des mélodies composées aux aurores pour les parisiens matinaux. Komodos est dédié à mes 3 fils qui ont fait les dessins de la pochette du CD, Surtout merci à Philipe Labroue & Emiko Hattori qui ont rendu possible la réalisation du projet.
Nation d'Étoiles, mon sixième CD, est l'aboutissement d'une nouvelle année d'immersions matinales dans les couloirs du métro parisien et je voudrais dédier « Chanson pour les Sans-Ciel » à tous les anonymes qui patientent dans cet étrange purgatoire, mi-refuge, mi-prison.
Un lieu propice à laisser courir l‘imagination pour dessiner des nations d'étoiles aux confins d'un ciel que l'on ne peut apercevoir.
Parmi 14 compositions originales, j'ai pour la première fois écrit des parties d'intervenants de violon, contrebasse et violoncelle dans « Harpométro », « Air Noêl » et « Harpe en Fugue » et je remercie Alexis Cardenas, Claude Mouton et Jean Barthe qui se sont si aimablement pris au jeu.
C'est aussi la collaboration avec Elvita delgado et Cesar Andrade. Elvita a choisi de mettre une texte sur la mélodie « Nation d'Etoiles », rendant hommage au « Troubadour-Gentleman », le Maestro Cesar Andrade. Quant à Cesar lui-même, il a exercé ses talents de parolier et d'interprète dans « Al punto de Caramelo » et « Compadre Pimentel ». Il a aussi mis des paroles « Carruselito » que chante Elvita.
Pour les thèmes de style vénézuélien, j'ai eu la chance que passe par Paris Carlos Orozco, ce talentueux multi-instrumentiste vénézuélien qui m'a amicalement enregistré les parties de cuatro, maracas et basse électrique. Quand aux trois morceaux avec batterie je les dois à la participation de Alexandre Zanotti que je salue ainsi que Lionel Baracetti pour la marimba.
J'ai composé « Printemps florentin » pour Florence van den Eede de Bruxelles afin de l'encourager dans l'étude du violoncelle. Enfin, faute de l'appui sans failles de Philipe Labroue, cet enregistrement n'aurait pu voir le jour, comme les précédents d'ailleurs.
Arpométro
Carruselito
Air Noël
Nations d'Étoiles
Étirements
Cordes éoliennes
Punto a caramelo
Danzon chaloupé
Compadre Pimentel
L' harpenteur
Harpe en fugue
Pour les Sans-Ciel
Misaki
Printemps florentin
Nations d'étoiles (instr.)
Musiciens invités :
Alexis Cardenas (violon)
Claude Mouton (contrebasse)
Jean Barthe (violoncelle)
Elvita Delgado (chant 2,4,7 paroles 4)
Cesar Andrade (chant 7,9 paroles 2,7,9)
Carlos Orozco (maracas, cuatro, basse)
Alexandre Zanotti (batterie)
Lionel Baracetti (marimba 8)
Florence van den Eede (violoncelle 14)
Co-production Pascal Coulon et SARL Studio Labroue Estela
Tous les titres de ce CD (à l'exception du N° 14) sont des compositions originales que j'interprète à la Harpe des plaines colombo-vénézuéliennes « el Arpa llanera ».
La plupart de ces morceaux ont été composés aux aurores dans les couloirs du métro parisien quand tout n'est que calme et…(mais n'exagérons rien…).
Je voudrais remercier tous les participants en commençant par les amigos venezolanos, mais aussi français, argentins, chiliens, espagnols :
Venezuela : José « Cuchi » Almeda, Alexander Cardenas, « Seb » Jimenez Real, Franklin Lozada, Joel « Pibo » Marquez, Rafael Mejias, Roldan Peña, Cristobal Soto
France : Frédéric Fraysse, Christophe Le Van, Bernard Rousseau, Benoît Sauvé« Aliocha » Zanotti
Le projet du CD « La harpe vagabonde… » correspond au travail effectué en collaboration avec Philippe Labroue entre janvier 2000 et avril 2001.
Mes précédents enregistrements étaient consacrés à la musique traditionnelle des llanos colombo- vénézuéliens (Caricias del Viento, El parisino llanero) et à des compositions dans le style tropical « orquidea- cumbia » (Pascal sin-con-fusion).
Le CD précédent (El parisino llanero) se terminait par un solo (Soliloquio) qui annonçait plusieurs des morceaux qui composent la première partie de ce nouvel enregistrement (Soir de promesses, Matin calme, Réçits d'hiver) où je souhaite mettre en évidence le timbre étonnement riche de cette « arpa criolla de los llanos - espagnole d'origine » (avec le juste équilibre entre les aiguës cristallines et les graves chaudes et rondes).
C'est donc à dessein que j'ai voulu débuter par des morceaux à tempo libre ou lent en laissant libre cours à mon inspiration ou en y associant la flûte à bec de Benoît Sauvé, le violon de Alexis Cardenas et la guitare de Roldan Peña, mais aussi dans Récits d'hiver la complicité des maracas de Cariasenry Orozco âgé de 11ans lors de l'enregistrement, concernant la valse Hatsuyukiya permettez que je tente de traduire le titre du Japonais « nuit de première neige ».
Pour ce qui concerne le titre du premier morceau Le Jardin Baroque, il est là pour aussi rappeler la filiation de l'instrument avec la musique baroque de la vieille Europe. Concernant le Mosaïco amanecer l'emploi de la formule harpe - maracas se réfère à la tradition de la harpe tuyera.
Je tiens à remercier Cesar Andrade pour avoir mis des paroles sur deux de mes compositions et particulièrement pour El Niño joropero. Quant au dernier morceau ce fut un plaisir que de chercher des variations sur El Pescador del rio Apure du poète Jose Vincente Rojas si bien chanté par Eneas Perdomo.
Il me faut également remercier la technique qui m'a permis d'avoir la participation over-sea de mon ami Carlos Orozco et de celle de son fils Cariasenry en direct de Barquisimeto, la « capitale musicale » du Venezuela, où j'avais enregistré le CD Caricias del viento.
Egalement un grand merci aux percussionnistes Gustavo Ovalles, Joel Pibo Marquez et Rafael Mejias pour la partie tropicale : Mi ternura, Kilin et Laïma ainsi que Caminito del barrio, et à la basse de Javier Padilla et la mandoline de Cristobal Soto.
Conscient que ce CD puisse dérouter par sa dispersion, j'espère néanmoins qu'il saura faire vagabonder…ceux qui vont l'écouter.
During my first stay in Venezuela, more than twenty-five years ago, I made two important meetings: one of the------"Indio" Figueredo to San Fernando de Apure and Pablo Canela, the "maestro" of the violin, at Barquisimeto. "
The "Mosaico gavilanes piece", arranged from the Gavilan "Indio" Figueredo and the Gavilan Pablo Canela tocuyano, is a tribute to these two key figures of the Venezuelan music.
"Soliloquio" attempts to link the different styles of harps (Venezuelan, Celtic or classic) to the Japanese koto or the ku-chin Chinese that I could study during my eight years past year Asia. "
Sangre tuyera "y caliente"
Como una estrella llorà
Las very Damascus
Calabocena
Gavilanes de Tocuy y del Llano
Los mamonales
Gaban y flores para ti
El verdun
Puerto Miranda-luz
Pasajes plainsmen Mosaico
Soliloquio
Musicians:
Pascal Coulon (Venezuelan harp)
Carlos Orozco (cuatro, maracas)
Jose Velazquez (bass)
This website uses Cookies for its proper functioning.
No personal data is transmitted to a third party.
By continuing to use this site, you accept their use.